Valoriser l’ancienne voie du tramway Grenoble-Villard-de-Lans (GVL), telle était l’ambition du projet de communication publique porté par Grenoble-Alpes-Métropole (GAM). J’ai eu le bonheur d’intervenir en tant que conceptrice-rédactrice, lors de ce magnifique projet patrimonial.
En étroite collaboration avec la designer graphique Isabelle Ibgui, j’ai conçu les contenus éditoriaux de 16 panneaux disséminés le long du parcours du GVL. Traitant de thématiques extrêmement variées, ils s’adressent aux promeneurs ou cyclistes empruntant l’ancien trajet du chemin de fer de montagne.
Vous souhaitez en savoir davantage ? Grimpez à bord du GVL !
Ma mission de rédactrice dans ce projet de communication publique
En tant que conceptrice-rédactrice, j’ai tout d’abord consulté les nombreuses ressources, qui m’ont été confiées afin de mener à bien ce magnifique projet de communication publique. J’ai également étoffé ce corpus documentaire avec des recherches complémentaires et des sources personnelles.
J’ai ensuite sélectionné et hiérarchisé les informations les plus pertinentes, selon une ligne éditoriale proposée aux membres du projet.
Puis, j’ai identifié et intégré les messages-clés pour replacer l’histoire du GVL dans son contexte régional voire national.
Forte de cette préparation, j’ai pu concevoir et rédiger les contenus éditoriaux des 16 panneaux.
Ils faisaient la part belle aux premiers tramways qui, dès 1901, investissaient le place Grenette, puis sillonnaient Grenoble et sa périphérie. Prétextes à valoriser le territoire, ces supports ont également abordé d’autres thématiques : le Parlement grenoblois, la Révolution française ou encore la naissance du Vercors, sa faune et sa flore.
Une étroite collaboration avec différents acteurs de la communication publique
La communication publique a pour principaux objectifs d’informer les usagers, d’expliquer l’action publique ou encore de promouvoir le territoire. À ce titre, différents acteurs régionaux ont étroitement collaboré à ce projet d’envergure. Parmi eux : Grenoble Alpes l’Agence, le Parc naturel régional du Vercors ou encore les mairies de Seyssins et de Seyssinet-Pariset.
Un groupe de bénévoles locaux est également venu contribuer à enrichir la mémoire collective. Ses propositions ont notamment permis la rédaction d’anecdotes de la vie quotidienne, du temps du GVL.
À l’instar d’un écrit de communication interne, ma mission a consisté à recueillir les informations et verbatims transmis et à évaluer leur pertinence. Certains ont été insérés dans les panneaux patrimoniaux, dont les textes ont été publiés sur le site de Grenoble Alpes l’Agence.
Le résultat ? Un projet très favorablement accueilli par les Grenobloises et Grenoblois, qui ont pu (re)découvrir et s’enorgueillir de l’histoire de leur territoire.
Et aussi une vidéo en préparation afin de promouvoir, encore davantage, cet incroyable voyage dans le temps !